“Ainsi l’eau, par ses reflets, double le monde, double les choses. Elle double aussi le rêveur, non pas simplement comme une vaine image, mais en l’engageant dans une nouvelle expérience onirique”. Gaston Bachelard, L’eau et les rêves.
Les eaux muettes de la forêt de Berlinval regardent fixement le ciel de leur oeil de cyclope assoupi.
Le rêveur pourra y contempler les reliefs changeants d’un monde neuf qui se troublent d’un souffle et se dispersent dans l’ombre.
Photos : Laetitia
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Baba… j’en suis baba… Bravo Laetitia
magnifique!!!
Beau et original. Je ressens une grande sensibilité. Merci Laetitia !